La France que nous promet Sarkozy c'est celle de la haute finance dirigée par l'Etat et des amis que l'on place au plus haut niveau : FMI / LAGARDE, EDF / PROGLIO, VEOLIA / BORLOO ! QUI D'AUTRE POUR DEMAIN ?
Il faut que les Français mettent un coup d’arrêt à cette politique d’amis et de copains plus fous les uns que les autres, qui n’ont d’yeux que pour un seul sucre d’orge : avoir un poste important à tout prix si Sarkozy est réélu en mai.
2012 doit induire un changement emprunt de sincérité dans la classe politique. Il faut créer les conditions d’un grand coup de balai pour redynamiser le pays.
Nous n’avons pas de Rolex, mais nous sommes un peu plus faibles chaque jour.
C’est loin d’être gagné, car en 5 ans et 400 réformes, les Sarkozystes n’ont pas démontré leurs compétences…
Aujourd’hui la droite accélère les changement radicaux pour ancrer durablement le pays dans les erreurs, telles que, TVA sociale, liquidation des 35 heures, impôt sur la fortune sans effet, bouclier fiscal pas totalement supprimé, réductions d’impôts pour les plus riches au travers de niches fiscales, fiscalité des entreprises à l’encontre des salariés,…etc.
En mai 2012, nous serons « ceux de la France d’en bas », comme l’ancien Premier Ministre Jean Pierre Raffarin, nous avait qualifié dans son discours renversant, fustigeant les classes populaires par rapport à « ceux de la France d’en haut ».
Il nous est indispensable de nous révolter, grâce à nos votes, pour éviter à la France, la nouvelle Révolution Française qu’elle serait incapable de supporter.
Licencions ces politiciens de droite ! Parce que depuis 2007, l’élection de Nicolas Sarkozy, a introduit la prédominance des hommes et des femmes politiques de la majorité présidentielle dans tous les domaines. Les Français moyens sont devenus des citoyens de seconde zone !
2012 doit induire un changement emprunt de sincérité dans la classe politique. Il faut créer les conditions d’un grand coup de balai pour redynamiser le pays.
Nous n’avons pas de Rolex, mais nous sommes un peu plus faibles chaque jour.
Nous sommes ceux auxquels nos politiques ne portent plus aucune attention hors période électorale, malheureusement des oubliés de la prospérité, les victimes directes de la crise financière, à qui l’on apporte aucune vraie solution…
Nous sommes aussi ceux, à qui l’on avait fait plein de promesses électorales, mais depuis la présidentielle de 2007, nous sommes carrément tombés dans la panade.
Vaches à lait, prétextes à toutes les ponctions financières imposées par le pouvoir politique, condamnés à nous serrer la ceinture jusqu’au bout…
Ces gens de droite qui n’hésitent pas à flirter avec le Front National et à mettre en avant la crainte du lendemain, celle de l’immigration, la grande peur de l’autre !
Après 2008, l’avènement de la crise avait propulsé Sarkozy au premier plan de la terreur du « il faut que le Président garde son cap et reste en place sinon la France et les Français n’iront pas bien du tout et cela va accentuer l’effet de crise ». On a vu le résultat : une France dégradée et déconsidérée économiquement aux yeux du monde. Quel aveuglement !
Le raisonnement de l’Hyper-Président ne tient plus, car il est faux : personne n’est indispensable à ce point à notre pays, qu’il ne puisse être remplacé par un autre.
Celui qui ne s’est déclaré candidat qu'en février 2012 devra à tout prix expliquer à la France pour être réélu, qu’il est raisonnablement le seul recours face à la crise de l’Europe.
Rien que le bouclier fiscal a coûté 15 milliards d'euros par an à l'Etat Français !
Répercutés directement sur les contribuables moins fortunés.
Le prochain chef de l’Etat devra remettre en ordre la société avec une fiscalité plus juste, une liberté retrouvée pour les Français, un système judiciaire réformé et cohérent avec des juges et des tribunaux de proximité efficaces dans les villes et les campagnes, un service public rénové et sans nouvelles dégradations. Une école qui recommencera à progresser.
Bref un nouvel Etat et une administration sur laquelle on puisse compter sans éprouver de la peur, de l’angoisse ou de l’embarras.
C’est un challenge bien complexe auquel sera confronté François Hollande s’il est élu Président, car les destructions d’actifs républicains ont été nombreux, mais il n’est pas insurmontable.
Le peuple pourrait bien être séduit par la nouvelle énergie dévoilée par le candidat socialiste. Un candidat de Gauche comme on n’en avait plus vu depuis bien longtemps.
