mardi 5 juillet 2011

Affaire Strauss-Kahn : une probable manipulation à l’américaine et à la française !

Comment ne pas envisager la possible manipulation ? Disais-je dès le 19 mai 2011..

Nombreux étaient ceux qui sur la blogosphère et dans les médias criaient au scandale : Le directeur général du FMI ne pouvait être que coupable, l'accusation américaine du Procureur de Manhattan Cyrus Vance Junior possédait des preuves accablantes et la Police de New-York disposait d'une conjonction de preuves irréfutables qui lui suffisait à mettre en prison un homme dans des conditions si épouvantables et dégradantes pour lui que j'avais dit que DSK était jeté en pâture aux chiens médiatiques et à la face du monde..
 
Aujourd'hui il reste un gâchis sans précédent car Dominique Strauss-Kahn sera vraisemblablement innocenté en amérique et l'accusation tombera d'elle même.

Une conversation téléphonique de  Nafissatou Diallo a été enregistrée le lendemain même des faits supposés de la tentative de viol, avec un de ses amis trafiquant de drogue détenu en prison et dans laquelle elle s'interrogeait sur les éventuels avantages financiers qu'elle pourrait retirer d'une accusation de DSK...

Il reste aujourd'hui une nouvelle affaire qui débute en France avec la possibilité de plainte de la part de Tristane Banon, une journaliste qui dit avoir subi une tentative de viol en 2003. Peut-être est elle effectivement une victime présumée.
Mais dans ce cas pourquoi avoir tant tergiversé et attendu jusqu'en 2011 pour déposer une plainte en bonne et due forme ?
 
Il reste de nombreuses zones d'ombre à éclaircir sur l'affaire américaine : quelles sont véritablement les faits qui se sont produits lorsque Melle Diallo a relaté les faits à l'Hôtel Manager du Sofitel...
Faut il enquêter sur les implications possibles d'un service spécialisé ? Ou avec un certain réseau dont font partie environ 9000 employés présents dans tous les hôtels de la planète ?

Une chose est sure, les appels peuvent avoir été enregistrés et avoir laissé des traces.
peut-être y a-t-il encore matière à explorer...