Ce sont les questions essentielles à se poser : qui et pourquoi ? Ces 7 morts sont ceux de toute la France.
Au delà de toute considération religieuse ou politique : c'est notre pays dans son ensemble qui est visé par ces attentats odieux. A cause de l'horreur, la classe politique fait montre de réserve et de dignité en interrompant pour quelques jours la campagne des présidentielles pour le respect des victimes.
Trois enfants et un adulte abattus froidement hier : ce lundi 19 mars à 8H15 du matin par un homme à scooter qui fait feu devant le collège juif de Toulouse Ozar Hatorah où des parents et des enfants attendent un bus navette.
Un professeur de religion et ses deux enfants Gabriel et Arieh âgés de trois et cinq ans, ainsi que la fille du directeur de l'école Myriam Monsonego âgée de 8 ans sont lâchement assassinés, méthodiquement, à bout portant par le tueur, qui blesse également un adolescent de 17 ans, puis remonte tranquillement sur son scooter et s'en va !
Cet attentat était précédé de celui du jeudi 15 mars à 14H15 : un homme à scooter tue froidement deux militaires du 17 ème régiment de génie parachutiste basé à Montauban et en blesse grièvement un troisième face à un distributeur de billets situé à quelques mètres de la caserne. La police perd toute trace du tueur à la sortie de Montauban.
Le premier attentat avait eu lieu le dimanche 11 mars à 16H10 à Toulouse sur la personne d'un militaire du 1er régiment de train parachutiste, qui voulait vendre sa moto. Le militaire est lâchement tué en pleine rue par celui qui lui avait donné rendez vous pour acheter sa machine. Le tueur s'enfuit en scooter.
On sais aujourd'hui que l'arme de calibre 11.43 qui a tué est la même qui a servi dans les trois attentats. On sait aussi que le scooter volé qui a servi pour les commettre est vraisemblablement le même, un T Max 500 cc Yamaha, avec une différence dans la couleur, qu'il est très facile de modifier en changeant l'habillage de la machine.
La France policière et judiciaire est mobilisée en entier pour tenter d'identifier et d'arrêter rapidement le tueur. Celui-ci peut récidiver à son gré et semble avoir adopté un cycle meurtrier tous les quatre jours.
Il peut s'agir de n'importe qui, animé par des motivation qui lui sont personnelles, ou répondant à un ordre quelconque qu'il a reçu ou croit avoir reçu.
Une seule chose est sûre : il ne peut y avoir aucune motivation valable à commettre de tels actes.
Au delà de toute considération religieuse ou politique : c'est notre pays dans son ensemble qui est visé par ces attentats odieux. A cause de l'horreur, la classe politique fait montre de réserve et de dignité en interrompant pour quelques jours la campagne des présidentielles pour le respect des victimes.
Trois enfants et un adulte abattus froidement hier : ce lundi 19 mars à 8H15 du matin par un homme à scooter qui fait feu devant le collège juif de Toulouse Ozar Hatorah où des parents et des enfants attendent un bus navette.
Un professeur de religion et ses deux enfants Gabriel et Arieh âgés de trois et cinq ans, ainsi que la fille du directeur de l'école Myriam Monsonego âgée de 8 ans sont lâchement assassinés, méthodiquement, à bout portant par le tueur, qui blesse également un adolescent de 17 ans, puis remonte tranquillement sur son scooter et s'en va !
Cet attentat était précédé de celui du jeudi 15 mars à 14H15 : un homme à scooter tue froidement deux militaires du 17 ème régiment de génie parachutiste basé à Montauban et en blesse grièvement un troisième face à un distributeur de billets situé à quelques mètres de la caserne. La police perd toute trace du tueur à la sortie de Montauban.
Le premier attentat avait eu lieu le dimanche 11 mars à 16H10 à Toulouse sur la personne d'un militaire du 1er régiment de train parachutiste, qui voulait vendre sa moto. Le militaire est lâchement tué en pleine rue par celui qui lui avait donné rendez vous pour acheter sa machine. Le tueur s'enfuit en scooter.
On sais aujourd'hui que l'arme de calibre 11.43 qui a tué est la même qui a servi dans les trois attentats. On sait aussi que le scooter volé qui a servi pour les commettre est vraisemblablement le même, un T Max 500 cc Yamaha, avec une différence dans la couleur, qu'il est très facile de modifier en changeant l'habillage de la machine.
La France policière et judiciaire est mobilisée en entier pour tenter d'identifier et d'arrêter rapidement le tueur. Celui-ci peut récidiver à son gré et semble avoir adopté un cycle meurtrier tous les quatre jours.
Il peut s'agir de n'importe qui, animé par des motivation qui lui sont personnelles, ou répondant à un ordre quelconque qu'il a reçu ou croit avoir reçu.
Une seule chose est sûre : il ne peut y avoir aucune motivation valable à commettre de tels actes.