Avec 67 % d'insatisfaits de l'action présidentielle, soit 7 Français mécontents sur 10, force est donnée de constater que la sauce Hollande-Ayrault n'a pas bien pris, et comporte même quelques grumeaux, jusqu'à ne plus représenter qu'un infâme "Goubi-Boulga" que le peuple a de plus en plus de mal à digérer... D'où la question d'un remaniement ministériel éventuel !
Car si François Hollande veut conserver sa légitimité présidentielle et le droit de présider la France avec l'assentiment des Français il ferait bien de "faire gaffe" au mécontentement général qui s'est installé durablement dans toutes les couches sociales françaises et met le doigt sur les "ratés" du gouvernement.
Le peuple est convaincu que le Président Hollande ne pourra pas vraiment tenir ses promesses électorales de candidat présidentiel de gauche, "le changement c'est maintenant - moi Président de la République"...
Son challenge, c'était de rétablir une croissance en berne, et de mettre un coup d'arrêt au chômage en empêchant les patrons voyous de dé-localiser leurs entreprises jusqu'à la moelle et de procéder au réajustement des flux financiers. (Taxes sur les revenus boursiers du capital, empêchement de dé-localisation du sol français d'outils industriels rentables, maîtrise des banques et du marché spéculatif, économies dans le secteur public, etc)...
Opération pour l'instant ratée, puisque chez Arcelor-Mittal et le plan de sauvetage élaboré par Arnaud Montebourg s'est soldée par un fiasco avec la fermeture définitive des hauts-fourneaux de Florange.
Ratée aussi chez PSA, puisque pour la famille Peugeot dé-localisée en Suisse, l'année 2013 est celle de tous les dangers, avec une suppression de 8000 emplois et la fermeture du site d'Aulnay; le "brûlage de 1,2 milliards d'Euros de trésorerie fin 2012, la firme annonce encore devoir brûler une trésorerie de 1,2 milliards d'Euros en 2013, avant un hypothétique redressement en 2014 sur des pertes de marché d'environ 10% et un prêt de 1,5 milliards à rembourser... Que sera Peugeot en France en 2014 ?
Ratée également chez Pétroplus, qui n'en finit pas de se voir proposer des plans de reprises par des investisseurs étrangers, sans cesse refusés par le gouvernement... C'est tout l'avenir de la raffinerie en France qui ne compte plus que 8 sites de production, qui est engagé.
Et ce ne sont que quelques exemples, car ce n'est pas fini, cela craque de partout... L'économie française est en pleine stagnation : encore une perte de 35000 emplois prévue dans les travaux publics en 2013... la chute de 100.000 emplois prévus en perte nette sur 2012 - 2013 et des investisseurs qui n'en finissent pas d'attendre "la reprise" éventuelle pour recommencer à investir dans le pays...
Ce qui nous fera dépasser allègrement les 10,6 % de taux de chômage de la population active en France en 2013, soit 3,7 millions de personnes sans emplois...
(Sources INSEE : http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=14).
Manquerait plus qu'avec tout cela François Hollande et Jean Marc Ayrault se tapent une révolution au mois de mai s'ils ne réagissent pas !
La crise française est elle soluble dans le "Hollandisme" ? Pour l'instant personne n'y croit et le "Moi Président de la République" ferait bien de se dépêcher car si la pillule passe si mal, il n'y aura plus qu'une chose à faire... Prévoir de la "dissoudre"... La crise !
Car si François Hollande veut conserver sa légitimité présidentielle et le droit de présider la France avec l'assentiment des Français il ferait bien de "faire gaffe" au mécontentement général qui s'est installé durablement dans toutes les couches sociales françaises et met le doigt sur les "ratés" du gouvernement.
Le peuple est convaincu que le Président Hollande ne pourra pas vraiment tenir ses promesses électorales de candidat présidentiel de gauche, "le changement c'est maintenant - moi Président de la République"...
Son challenge, c'était de rétablir une croissance en berne, et de mettre un coup d'arrêt au chômage en empêchant les patrons voyous de dé-localiser leurs entreprises jusqu'à la moelle et de procéder au réajustement des flux financiers. (Taxes sur les revenus boursiers du capital, empêchement de dé-localisation du sol français d'outils industriels rentables, maîtrise des banques et du marché spéculatif, économies dans le secteur public, etc)...
Opération pour l'instant ratée, puisque chez Arcelor-Mittal et le plan de sauvetage élaboré par Arnaud Montebourg s'est soldée par un fiasco avec la fermeture définitive des hauts-fourneaux de Florange.
Ratée aussi chez PSA, puisque pour la famille Peugeot dé-localisée en Suisse, l'année 2013 est celle de tous les dangers, avec une suppression de 8000 emplois et la fermeture du site d'Aulnay; le "brûlage de 1,2 milliards d'Euros de trésorerie fin 2012, la firme annonce encore devoir brûler une trésorerie de 1,2 milliards d'Euros en 2013, avant un hypothétique redressement en 2014 sur des pertes de marché d'environ 10% et un prêt de 1,5 milliards à rembourser... Que sera Peugeot en France en 2014 ?
Ratée également chez Pétroplus, qui n'en finit pas de se voir proposer des plans de reprises par des investisseurs étrangers, sans cesse refusés par le gouvernement... C'est tout l'avenir de la raffinerie en France qui ne compte plus que 8 sites de production, qui est engagé.
Et ce ne sont que quelques exemples, car ce n'est pas fini, cela craque de partout... L'économie française est en pleine stagnation : encore une perte de 35000 emplois prévue dans les travaux publics en 2013... la chute de 100.000 emplois prévus en perte nette sur 2012 - 2013 et des investisseurs qui n'en finissent pas d'attendre "la reprise" éventuelle pour recommencer à investir dans le pays...
Ce qui nous fera dépasser allègrement les 10,6 % de taux de chômage de la population active en France en 2013, soit 3,7 millions de personnes sans emplois...
(Sources INSEE : http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=14).
Manquerait plus qu'avec tout cela François Hollande et Jean Marc Ayrault se tapent une révolution au mois de mai s'ils ne réagissent pas !
La crise française est elle soluble dans le "Hollandisme" ? Pour l'instant personne n'y croit et le "Moi Président de la République" ferait bien de se dépêcher car si la pillule passe si mal, il n'y aura plus qu'une chose à faire... Prévoir de la "dissoudre"... La crise !
