Si 73% des Français ne sont pas satisfaits de l'action de François Hollande et de son gouvernement dirigé par Jean Marc Hayrault, cela n'est pas par hasard ! (On oublie l'affaire Cahuzac)
Et ce ne sont pas les couacs de la politique franco-allemande qui sont responsables.
La réalité c'est que beaucoup des électeurs qui ont mis la gauche au pouvoir ont compris que : l'action de François Hollande n'a pas été suffisante pour enrayer la crise de la perte d'emplois et d'industries en France.
De plus, ceux qui croyaient que la parole donnée par le futur Président en campagne : ne pas laisser tomber la raffinerie de Pétroplus, les employés de PSA Aulnay et préserver la sidérurgie en France en conservant l'emploi à Florange et en luttant contre la dé-localisation annoncée d'Arcelor-Mittal, se sentent trompés et trahis...
On peut même sérieusement se poser la question de savoir si l'abandon d'une fabrication stratégique telle que l'Acier Français sur le sol national, ne va pas à l'encontre des intérêts vitaux du pays.
Et il est vrai que confier à une famille issue de l'Inde, qui n'a rien à voir avec les critères de l'emploi en France et qui se moque pas mal des intérêts du pays manque singulièrement de stratégie tout court...
La stratégie d'Arcelor-Mittal, de fermer purement et simplement Florange n'est pas cohérente à long terme et ne sert que les intérêts économiques immédiats du producteur d'acier indou qui pourra produire ailleurs et moins cher un acier qui sera consommé partout dans le monde, y compris en France !
A cet égard, les américains mènent une importante politique de protectionisme au nom de l'Intérêt supérieur des Etats-Unis et n'hésitent pas à empêcher des entreprises étrangères à absorber leur marché.
Par exemple, en 2008 lorsque l'armée américaine s'engageait à commander des avions ravitailleurs chez EADS, la commande était annulée par le Pentagone afin de redonner la main à Boeing.
Egalement, en matière automobile, le Président Obama n'hésitait pas à nationaliser Général-Motors afin de permettre à la firme américaine de redevenir le premier constructeur mondial : aujourd'hui la production de voitures aux Etats-Unis est de nouveau rentable...
Il suffit de demander ce qu'ils en pensent aux 8000 employés de PSA Aulnay et de l'usine de Reims qui vont se retrouver au chômage, dès 2013 pour les premiers. Là encore, il aurait peut être fallu légiférer dans le sens des constructeur français qui construisent leurs modèles sur le sol national !
Enfin, quand dans un tribunal de commerce on prend la décision injustifiée de repousser l'offre de repreneurs argentés et cohérents de reprendre la raffinerie de Pétroplus - l'un des repreneurs libyens s'est même excusé auprès des employés de voir son offre de reprise déclarée irrecevable - on peut se poser la question de savoir si les juges qui ont pris la décision possèdent véritablement toutes les compétences.
Là encore, François Hollande aurait peut-être pu oser une politique audacieuse et préserver les intérêts supérieurs du pays au travers de ses emplois industriels, ce qui aurait certainement donné à réfléchir aux détracteurs de la France et peut être à Angela Merkel à propos de la détermination des français.
Reste la retraite à 60 ans partiellement rétablie et aussitôt re-tronquée par Ayrault, le non cumul des mandats non réalisés, alors qu'il aurait suffit d'un décret immédiat, les couacs divers avec les ministres tels que Arnaud Montebourg qui voulait nationaliser temporairement PSA Aulnay, la politique du logement vacant non utilisée en panne...
Si ces quelques actes d'audace et de courage politique avaient pu avoir lieu, alors là oui, le changement, ça aurait été maintenant !
Florange, PSA Aulnay, Petroplus, et de nombreux électeurs qui se sentent trahis par le Chef de l'Etat : 73% de Français insatisfaits de François Hollande en 1 an, ce n'est vraiment pas du au hasard...
Bon anniversaire, M. le (p)résident !
Et ce ne sont pas les couacs de la politique franco-allemande qui sont responsables.
La réalité c'est que beaucoup des électeurs qui ont mis la gauche au pouvoir ont compris que : l'action de François Hollande n'a pas été suffisante pour enrayer la crise de la perte d'emplois et d'industries en France.
De plus, ceux qui croyaient que la parole donnée par le futur Président en campagne : ne pas laisser tomber la raffinerie de Pétroplus, les employés de PSA Aulnay et préserver la sidérurgie en France en conservant l'emploi à Florange et en luttant contre la dé-localisation annoncée d'Arcelor-Mittal, se sentent trompés et trahis...
On peut même sérieusement se poser la question de savoir si l'abandon d'une fabrication stratégique telle que l'Acier Français sur le sol national, ne va pas à l'encontre des intérêts vitaux du pays.
Et il est vrai que confier à une famille issue de l'Inde, qui n'a rien à voir avec les critères de l'emploi en France et qui se moque pas mal des intérêts du pays manque singulièrement de stratégie tout court...
La stratégie d'Arcelor-Mittal, de fermer purement et simplement Florange n'est pas cohérente à long terme et ne sert que les intérêts économiques immédiats du producteur d'acier indou qui pourra produire ailleurs et moins cher un acier qui sera consommé partout dans le monde, y compris en France !
A cet égard, les américains mènent une importante politique de protectionisme au nom de l'Intérêt supérieur des Etats-Unis et n'hésitent pas à empêcher des entreprises étrangères à absorber leur marché.
Par exemple, en 2008 lorsque l'armée américaine s'engageait à commander des avions ravitailleurs chez EADS, la commande était annulée par le Pentagone afin de redonner la main à Boeing.
Egalement, en matière automobile, le Président Obama n'hésitait pas à nationaliser Général-Motors afin de permettre à la firme américaine de redevenir le premier constructeur mondial : aujourd'hui la production de voitures aux Etats-Unis est de nouveau rentable...
Il suffit de demander ce qu'ils en pensent aux 8000 employés de PSA Aulnay et de l'usine de Reims qui vont se retrouver au chômage, dès 2013 pour les premiers. Là encore, il aurait peut être fallu légiférer dans le sens des constructeur français qui construisent leurs modèles sur le sol national !
Enfin, quand dans un tribunal de commerce on prend la décision injustifiée de repousser l'offre de repreneurs argentés et cohérents de reprendre la raffinerie de Pétroplus - l'un des repreneurs libyens s'est même excusé auprès des employés de voir son offre de reprise déclarée irrecevable - on peut se poser la question de savoir si les juges qui ont pris la décision possèdent véritablement toutes les compétences.
Là encore, François Hollande aurait peut-être pu oser une politique audacieuse et préserver les intérêts supérieurs du pays au travers de ses emplois industriels, ce qui aurait certainement donné à réfléchir aux détracteurs de la France et peut être à Angela Merkel à propos de la détermination des français.
Reste la retraite à 60 ans partiellement rétablie et aussitôt re-tronquée par Ayrault, le non cumul des mandats non réalisés, alors qu'il aurait suffit d'un décret immédiat, les couacs divers avec les ministres tels que Arnaud Montebourg qui voulait nationaliser temporairement PSA Aulnay, la politique du logement vacant non utilisée en panne...
Si ces quelques actes d'audace et de courage politique avaient pu avoir lieu, alors là oui, le changement, ça aurait été maintenant !
Florange, PSA Aulnay, Petroplus, et de nombreux électeurs qui se sentent trahis par le Chef de l'Etat : 73% de Français insatisfaits de François Hollande en 1 an, ce n'est vraiment pas du au hasard...
Bon anniversaire, M. le (p)résident !