Délice des hasards orthographiques, l'UMP Jean François Copé, par le truchement de l'ordre alphabétique, se retrouve assis sur les bancs de l'Assemblée, juste à côté de Gilbert Collard, nouveau député du Front National.
De là à dire que Copé est proche du FN, il n'y a qu'un pas de syntaxe que nous franchissons...
Quels sont les dangers que le leader de l'UMP aura à subir dans sa position inhabituelle ?
Assurément, "l'effet de manche" que Gilbert Collard, en ténor du barreau pourrait mettre à profit pour souffleter l'homme de sa droite ! Ou même le coup de l'hermine dans l'oeil...
Copé pourra certainement en tirer quelques avantages : avoir à côté de soi un "maître" de l'éloquence et de la tournure de phrase lui offrira l'opportunité de quelques leçons.
Le patron de l'UMP qui dit ne pas être chanceux a déclaré à un journaliste du Figaro : "Je n'ai jamais de chance, je ne gagne jamais au Loto. On est 577 et je tombe à côté de lui".
On comprend donc le côté affecté de Jean François Copé lors de la première séance de Mardi à l'Assemblée Nationale qui débutait ses travaux par l'élection de Claude Bartolone au Perchoir.
Ce que l'on comprend moins, c'est l'accès de muflereie du même Copé à l'égard de Marion Maréchal Le Pen, qui en benjamine de la docte Assemblée, a débuté sa carrière de Député en assurant le poste de secrétaire de séance lors du vote pour le Président.
Copé est passé rapidement à côté d'elle, sans même un regard ni lui serrer la main, et lui à même tourné le dos pour déposer son bulletin dans l'urne.
On peut donc dire que l'UMP, qui n'a rien de populaire, a tourné le fos au Front National...
C'est dommage car d'autres barons de droite commencent à se dire que, peut-être, il y aurait des voies de communication à emprunter encore plus à droite. Avec ou sans Copé.
Seul l'avenir dira si Jean François Copé conservera son poste de Secrétaire Général de l'UMP.
Mais ce que l'on peut imaginer, si l'on croit à l'Au Delà, c'est qu'il y a de grande chance que la malchance de Copé soit un coup du sort posthume orchestré, par François Mitterrand et Philippe Seguin.
Depuis le paradis des hommes politiques où tous finissent, on le sait bien, par se retrouver main dans la main, tout le monde se marre !
De là à dire que Copé est proche du FN, il n'y a qu'un pas de syntaxe que nous franchissons...
Quels sont les dangers que le leader de l'UMP aura à subir dans sa position inhabituelle ?
Assurément, "l'effet de manche" que Gilbert Collard, en ténor du barreau pourrait mettre à profit pour souffleter l'homme de sa droite ! Ou même le coup de l'hermine dans l'oeil...
Copé pourra certainement en tirer quelques avantages : avoir à côté de soi un "maître" de l'éloquence et de la tournure de phrase lui offrira l'opportunité de quelques leçons.
Le patron de l'UMP qui dit ne pas être chanceux a déclaré à un journaliste du Figaro : "Je n'ai jamais de chance, je ne gagne jamais au Loto. On est 577 et je tombe à côté de lui".
On comprend donc le côté affecté de Jean François Copé lors de la première séance de Mardi à l'Assemblée Nationale qui débutait ses travaux par l'élection de Claude Bartolone au Perchoir.
Ce que l'on comprend moins, c'est l'accès de muflereie du même Copé à l'égard de Marion Maréchal Le Pen, qui en benjamine de la docte Assemblée, a débuté sa carrière de Député en assurant le poste de secrétaire de séance lors du vote pour le Président.
Copé est passé rapidement à côté d'elle, sans même un regard ni lui serrer la main, et lui à même tourné le dos pour déposer son bulletin dans l'urne.
On peut donc dire que l'UMP, qui n'a rien de populaire, a tourné le fos au Front National...
C'est dommage car d'autres barons de droite commencent à se dire que, peut-être, il y aurait des voies de communication à emprunter encore plus à droite. Avec ou sans Copé.
Seul l'avenir dira si Jean François Copé conservera son poste de Secrétaire Général de l'UMP.
Mais ce que l'on peut imaginer, si l'on croit à l'Au Delà, c'est qu'il y a de grande chance que la malchance de Copé soit un coup du sort posthume orchestré, par François Mitterrand et Philippe Seguin.
Depuis le paradis des hommes politiques où tous finissent, on le sait bien, par se retrouver main dans la main, tout le monde se marre !
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